top of page

À propos

Comment Ton essence, Ta couleur à pris vie!

Dans un espace où je peux être moi-même et par le fait même, offrir ce même espace à mes clients et donc de véhiculer un message authentique pour avoir une clientèle tout aussi authentique à son tour. Comment pourrais-je être connectée à mes clients si je ne le suis pas avec moi-même? Je ne veux pas donner un service qui entre dans la “norme”, je veux offrir des services, personnalisés, adaptés et humains!

 

Et en tant que professionnelle, je veux démontrer que je suis tout aussi humaine!

Il arrive parfois, dans le cadre de mon métier, que les gens me disent qu’ils n’aiment pas aller voir des professionnels comme moi, “qui font ma job” parce qu’il y a un manque de sensibilité, de chaleur et d’accueil… Ils font face à un cadre qui manque de flexibilité, à des personnes qui sont sur le pilote automatique et avec qui ils ne ressentent pas cette connexion, cette approche humaine. Ce sont les raisons pour lesquelles je veux montrer la personne que je suis, que je suis aussi une personne qui a traversé et qui traverse encore des enjeux parfois similaires à ma communauté. Et que ces personnes sentent qu’elles sont entendues, comprises et accueillies dans leur entièreté. 

 

J’aimerais ajouter que depuis que j’ai commencé mes pages professionnelles, des personnes me confient qu’elles se sentent moins seules dans ce qu’elles vivent, mais aussi dans leurs traits de personnalités. Ton essence, Ta couleur est le titre que ma communauté a voté! Elle a choisi ce nom, car elle s’y identifiait et je tiens à l’honorer, sans tabou, sans masque, sans jugement, sans rigidité et dans leurs valeurs et principes fondamentaux!

Je fais clairement face à un éventail de limites imposées par la société, mais comment apporter le changement si on accepte d’adhérer à ces limites qui sont contraignantes pour la dignité humaine. Travailler dans une ouverture d’esprit et ma priorité numéro 1!

pink-4712291_1920.jpg

Mon parcours

J’ai un parcours personnel et professionnel qui fait de moi la femme, la mère et l’éducatrice que je suis aujourd’hui. J’ai eu une expérience scolaire et professionnelle, jusqu’ici, des plus enrichissante et révélatrice.

 

D’abord, j’ai fait mon premier stage de technique à l’organisme communautaire d’Iris Estrie, organisme en réduction des méfaits pour prévenir les infections transmissibles sexuellement et par le sang. J’ai été formée par une magnifique femme qui milite pour les droits de la femme dans le volet Catwoman, le volet consacré aux travailleuses du sexe! Une population encore très très stigmatisée! J’ai adoré ce bout de chemin et c’est lors de ce stage que je me suis réapproprié mon côté créatif, car j’avais la confiance, l’espace et la liberté de l’exploiter selon mes valeurs et mes idées. Je suis plus que reconnaissante d’avoir reconnecté avec cette partie de moi que j’ai longtemps mis de côté parce que “la vraie vie” selon notre société, c’est de faire des choix qui sont logiques et rentables, alors qu’aujourd’hui, je suis exactement dans les deux domaines qui me passionnent, la psychologie et l’art! Je tien également à véhiculer un message concernant mes valeurs en tant que femme, les images, la photographie et le corps d’une femme ne devrait pas rester dans l’ombre parce qu’on nous dit que ça devrait être ainsi. Ce sont les interdits et les tabous qui les mettent en danger et qui excuse des comportements graves. J’utilise les images comme technique d’impact et par le fait même, j’exploite l’approche positive en utilisant les photos et le corps de la femme comme forme d’art. Les images transmettent tous des messages qui sont importants.

 

Pour continuer, j’ai été embauchée par Iris Estrie afin d’assurer le poste d’intervenante au volet jeunesse le temps d’un contrat d’été, car plusieurs le savent, c’est difficile pour les organismes à but non lucratif d’avoir des subventions et survivre… Bref, j’étais donc mandatée à faire des animations dans les écoles pour faire de la sensibilisation et de l’éducation sexuelle, ce que j’ai aussi adoré! Je me suis également chargée de créer un compte Instagram pour la population jeunesse afin d’y faire de l’éducation sexuelle.

 

Par la suite, j’ai postulé comme éducatrice spécialisée au centre jeunesse de l’Estrie, point de service val-du-lac (centre de détention pour mineurs). Mais quelle belle clientèle 🤍 J’adore la clientèle jeunesse, j’ai une approche naturelle et fluide avec eux et honnêtement, il y a du vrai à cet âge et je me sentais bien en leur présence, j’occupais donc un travail à temps partiel à la maison des jeunes comme intervenante animatrice aussi les soirs et la fin de semaine (comment ai-je fait tout ça en même temps? Je ne sais même pas moi-même ahah). J’ai rempli ces deux contrats simultanément durant quelques mois et ensuite, j’ai dû garder un seul emploi avec mon retour aux études à temps plein, car oui, je suis tombée enceinte dès ma première année d’étude, ma petite fille a maintenant 5 ans!

Et pour mon stage final à temps plein, j’ai choisi la psychiatrie au CHUS Hôtel-Dieu. Et là! J’ai eu la piqure pour la santé mentale! J’ai eu la chance de travailler auprès d’une clientèle des plus vulnérable, sensible, authentique et très transparente. Je travaillais principalement avec les personnes ayant un trouble de la personnalité limite, la maladie affective bipolaire, la dépression, les troubles de comportement alimentaire et quelques autres troubles de la personnalité. Je me suis aussi rendu compte des différentes lacunes du système quant à l’aide donné à la population souffrante… J’ai pu côtoyer de près et au quotidien les diverses difficultés auxquelles elle était réellement confrontée. Cela n’a qu’amplifié mon désir d’aider les gens dans le besoin et d’offrir des services à la hauteur de mes attentes.

Ce qui m’as finalement amené à travailler comme intervenante chez JEVI (centre de prévention du suicide), où les valeurs de l’organisme se rapprochent considérablement de celles que je prône. Il reste cependant réaliste de viser un plus large spectre quant au suivi individuel dans le cadre de ma pratique privée avec Ton essence, Ta couleur. Je vise une approche moins formelle et standardisée.

Mes formations

  • Diplôme d’étude collégiale en techniques d’éducation spécialisée au Cégep de Granby.

  • Certification en art-thérapie à Instruire reconnue par :

        -Centre of CPD Excellence.

        -The Complementary Medical Association (CMA);

        -International Practitioner of holistic Medicine (IPHM).

  • Membre de l’association des éducatrices et éducateurs spécialisés du Québec (AESSQ). L’AEESQ a pour fonction d’assurer une protection aux clients et partenaires que ses membres côtoient dans le cadre de leur fonction. Toutes interventions faites par un éducateur spécialisé seront basées sur le code de déontologie de l’éducation spécialisée.

AEESQ LOGO.jpg
Logo RITMA.png

Certaines compagnies d’assurance peuvent rembourser les reçus pour les services en éducation spécialisée, si non, vous pouvez les inclure dans les dépenses médicales non couverte par la RAMQ ou votre couverture d’assurance lors de la production de rapport d’impôts.

  • Membre du regroupement des intervenants et thérapeutes en médecine alternative (RITMA).                             

Mon histoire personnelle

Mylène Roy.jpg

Tout d’abord, je suis une femme de 29 ans et mère monoparentale d’une petite fille de 5 ans. Tout a commencé alors que je venais d’accoucher, que j’étais aux études à temps plein, que nous avions beaucoup de difficulté à joindre les deux bouts financièrement. Le père de ma fille travaillait des journées entières pour pallier ce stress qui nous guettait et pour que je puisse avoir un métier que j’aime. Par conséquent, je me retrouvais souvent seule avec un bébé à charge en plus de mes études, je n’avais pas de support moral et j’étais de plus en plus épuisée.

Je maigrissais à vu d’œil, je me suis mise à faire de l’anxiété, à vomir d’épuisement et de stress, je n’étais plus bien dans mon couple. J’ai commencé à suivre une thérapie pour m’aider avec la dépendance affective dans laquelle j’étais prisonnière et qui me faisait tant souffrir. J’ai réussi à quitter mon conjoint, le père de ma fille pour me retrouver seule avec moi-même et élever ma fille. 

 

C’est à ce moment que j’ai commencé à faire de l’écriture et du art journaling. J’ai eu de grandes prises de conscience concernant mon état qui était beaucoup plus grave que je ne le croyais. J’ai me suis donc tourné vers mon médecin traitant qui m’a finalement diagnostiqué une dépression et j’ai commencé à prendre un traitement médicamenteux. 

 

J’ai décidé d’utiliser mes outils et les connaissances que j’avais pour produire des capsules vidéo et des articles de blogue afin de pouvoir aider toutes les personnes dans le besoin et qui pouvait se reconnaitre dans mon histoire afin de pouvoir aussi aller mieux et utiliser les bonnes ressources qui sont parfois difficiles à avoir dans la réalité de notre système de santé.

Après avoir publié quelques vidéos déjà, les gens venaient m’écrire afin de m’encourager à continuer, ce que j’ai fait. 

 

À la suite de ma certification en art-thérapie, j’ai eu la demande de faire du contenu en lien avec ce sujet. J’ai donc commencé à faire des vidéos et des articles de blogue sur différents exercices d’art-thérapie que j’ai moi-même expérimenté. 

Au travers de chacun de mes articles et mes vidéos, je partage mon vécu personnel. J’aime faire de l’enseignement par l’exemple, car les résultats et l’impact sont plus authentiques.

 

Plusieurs personnes ont pris contact et se sont rapprochée de moi à travers mes pages, j’ai inspiré et guidé plusieurs personnes qui en avait besoin. Quelques-unes d’entre elles ressentaient une connexion et un apaisement dans le contenu sur ces pages. C’est pourquoi je fait ça depuis maintenant 4 ans, que je suis active et que je continue de développer mon entreprise.

 

C’est un projet qui me tient énormément à cœur et qui me permet à tout coup de me tenir la tête hors de l’eau.

 

C’est ma mission de vie!

bottom of page