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La confrontation des distorsions cognitives

  • Photo du rédacteur: My-l R-oy
    My-l R-oy
  • 29 janv. 2021
  • 3 min de lecture

Dernière mise à jour : 25 mars 2023


Bonjour tout le monde! Je vous ai concocté un article concernant la confrontation de la pensée directement liée à notre impitoyable amie l’anxiété… En premier lieu, j’aimerais vous présenter un livre dont j'ai fait la lecture dans les dernières semaines et qui m’a grandement aidé concernant ces fameuses idées noires qui nous collent constamment à la peau. Je vais ensuite vous présenter deux extraits de ce livre qui explique très clairement le processus de confrontation de nos idées toxiques, et ce à l’aide d’exemples! Je trouve ces extraits très pertinents alors, c’est pourquoi je souhaite vous le partager! Pour ceux et celles qui souhaiteraient se procurer le livre, il me fera plaisir de vous le prêter. Il est également possible de faire un prêt dans votre bibliothèque municipale, il suffit de vous rendre sur place pour faire l’abonnement gratuitement et le tour est joué. Autres options intéressantes, il existe des livres sur l’application Kindle (même gratuit) ou même des livres audios pour les personnes qui n'aiment pas lire sur l’application audible. Pour finir, je vous mets un extrait de mon journal d’introspection pour vous présenter ce que j’ai vécu en lien avec la confrontation et la réflexion que j’en ai faites. En espérant que cela vous aide et vous encourage. N’hésitez surtout pas à m’écrire si vous avez des questionnements ou si vous voulez commenter cet article, ça va me faire le plus grand des plaisirs.


Voici le livre :



Voici les deux extraits : Les malfaçons de la confrontation.






Voici l’extrait de mon journal personnel qui démontre ce que j’ai vécu en lien la confrontation de mes idées :


« Immédiatement, je me suis mise à faire de l’anxiété… Normalement, j’essaie de refouler mes émotions négatives et d’essayer de ne plus y penser, en pensant évidemment que cela va se réglé. C’est à ce moment, que je me suis dit que j’allais confronter mes idées telles que l’auteur du livre : « Vaincre ses peurs » (1977, Auger, L.) l’a expliqué. J’essaie donc de remplacer mes idées dont j’étais incertaine de savoir si elles étaient bien ciblées, par des idées réalistes et rationnelles. Ce qui, à mon grand étonnement, j’ai réussi à faire. Tout de suite, je me suis senti bien, l’anxiété avait quitté ma tête et mon corps… Ce n’était pas grand-chose, mais ça a suffi. J’étais fière de moi et surtout heureuse que la méthode fonctionne. Chaque fois qu’on me disait : parle-toi ! (Pour essayer de te convaincre d’une idée), qui à mon avis, n’était pas rationnelle. Cette façon de faire n'était pas efficace, car elle ne fonctionnait pas ou dans un très court laps de temps. Voilà. Ce qui me rend encore plus heureuse, c’est de savoir que je contrôle mieux mes pensées et que je me sens moins vulnérable vis-à-vis d’elles. Ce qu’il faut se rappeler, c’est qu’il est normal de vivre des moments de détresses, mais que plus nous sommes outillés pour y faire face, plus nous serons forts mentalement et seront en mesure d'accepter et de laisser partir ces émotions négatives. Enfin, je réalise aujourd’hui que j’ai toujours vécu de l’anxiété sans en être réellement consciente. J’ai toujours nié cette idée, je le faisais en voulant la chasser mon esprit, en m'occupant par exemple (ce qui fonctionne, mais que temporairement). Je réalise finalement que cette méthode ne me permettait pas de me sentir mieux. Je prends aussi conscience que je dois m’accepter telle que je suis et surtout accepter ces émotions qui viennent et surgissent sans crier gare. De me dire que c’est OK, qu’elles sont bel et bien là, et qu’ensuite, je fais en sorte de ne pas rester sous leurs emprises en les confrontant directement. Maintenant, j’écoute mon instinct, je ne veux plus nier. J’écoute cette voie intérieure qui me dit que ça ne va pas et je la laisse me murmurer à l’oreille un court instant pour l’accepter. De me dire que oui, c’est vrai, ça ne va pas ou je ressens ça. De tout simplement arrêter de la fuir et de l’ignorer fait une énorme différence. Il est important de retenir qu’il faut respecter son rythme, de se laisser le droit de prendre du temps pour s'adapter et de s'améliorer. Surtout, il faut cesser de s'en vouloir ou de se sentir coupable d'être la personne que l'on est, de vivre des moments difficiles de temps à autre et même d'avoir besoin d'aide … Laissez-vous le droit, c'est un premier pas. »


Bonne journée xx

 
 
 

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